A supercell near Booker, Texas
Ne manquez pas cette époustouflante vidéo d’un orage supercellulaire (à mater en HD et plein écran) sur vimeo : A supercell near Booker, Texas
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Ne manquez pas cette époustouflante vidéo d’un orage supercellulaire (à mater en HD et plein écran) sur vimeo : A supercell near Booker, Texas
En 2012, trois personnes sur quatre résidant en France métropolitaine ont utilisé Internet au cours des trois derniers mois, contre seulement 56 % en 2007. La fracture numérique se réduit entre catégories sociales : Internet touche la quasi-totalité des cadres depuis 2007 ; quatre ouvriers sur cinq l’utilisent en 2012, contre un sur deux cinq ans auparavant. Des différences de pratique selon l’âge demeurent, mais l’usage de l’internet se banalise. De nombreuses fonctionnalités disponibles sur la toile sont de plus en plus utilisées. Achats mais aussi ventes en ligne sont ainsi de plus en plus sollicités ces dernières années.
Le développement accéléré de l’internet mobile accompagne ces évolutions : en 2012, 40 % des personnes résidant en France ont déjà surfé sur Internet, en dehors de chez elles, via un ordinateur portable, un téléphone portable ou un appareil de poche, elles n’étaient que 10 % cinq ans auparavant…
Lire l’article sur le site de l’Insee : L’internet de plus en plus prisé, l’internaute de plus en plus mobile
Pauvreté et inégalités frappent de façon très variable les territoires, comme l’indiquent un grand nombre d’études réalisées par les délégations régionales de l’Insee. Des documents peu médiatisés, mais qui apportent souvent un éclairage inédit. Le panorama est dressé par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités et consultant au Compas. Extrait du Centre d’observation de la société…
A lire sur l’Observatoire des inégalités : Pauvreté et inégalités : des contrastes marqués entre territoires
Madame la ministre de la culture et du téléchargement c’est du vol, tu aurais (tu permets que je te tutoie ? c’est plus sympa), tu aurais, ainsi que vous mesdames et messieurs les nayantsdroits, tout intérêt à aller lire les 800 commentaires postés sour le billet annonçant la fermeture du site Redlist. Plutôt que de cramer des millions d’euros du contribuable en financement d’Hadopi-qui-sert-a-rien ou en études diverses sur les attentes des usagers sur les pratiques culturelles à l’heure du numérique, ces 800 commentaires te diront TOUT sur lesdites attentes et te fourniront en outre un précieux, légal et gratuit cahier des charges pour ce que toi et tes prédécesseurs auraient dû mettre en place il y a déjà 10 ans. Et oui. Mais comme tu ne vas pas prendre le temps de le faire (je te connais un peu) et que je suis sympa, je vais le faire pour toi. J’ai donc lu (si, si) et analysé (si, si) les 800 premiers commentaires et voici ce qu’il en ressort…
Lire l’article sur affordance.info : Chers nayantsdroits, les meilleures choses n’ont pas de fin.
Clément venait d’être massacré quand certains ont ouvert leurs commentaires. Il y a eu bien sûr la parole des professionnels de la confusion et autres condisciples réactionnaires qui se repaissent de toutes ces paraphrases ignobles que certains sites web leur permettent d’étaler. Honte à ceux qui laissent s’implanter la haine tranquille.
Il n’y a aucun doute. C’est bien parce qu’il était militant antifasciste que Clément Méric a été tué.
Alors, combien de propos insultant la résistance antifasciste allons-nous supporter ? Quels sont ces travestissements iniques qui passent encore par les écrits ou par les ondes ?
Et quels sont ceux qui, professionnels de l’information, peuvent être fiers des fausses questions qui ont été posées ? Je ne sais pas ce que les analyses racontent, mais je sais qui devrait avoir honte, qui a la mémoire si courte, si rétrécie.
Honte à ceux qui, associant nazillons et antifascistes dans un même opprobre ont osé parler d’une rixe entre extrême-droite et extrême-gauche comme si cela les exonérait de réfléchir. Honte à tous ceux-là qui ont prétendus que les extrêmes se valent, ceux-là qui ont cru bon de jeter aux oubliettes des décennies de lutte antifasciste, ceux-là ont oublié les assassinés des nazillons, les récidives des crânes rasés. Mais combien de crimes faut-il pour ouvrir les yeux ? La haine des fachos tue sans cesse et sans honte. Honte à vous qui avez laissé faire, laissé dire que les nationalistes, les fachos de tout poil avaient le droit de nous empester…
A lire sur L’En Dehors : Clément, assassiné pour fait de résistance
Lorsque je dis aux gens que j’étudie les rapports entre médias sociaux et mouvements socio-politiques, on me fait souvent remarquer quelque chose comme « Mais il y avait des mouvements de protestation avant Facebook ! ». Bien sûr…
Comment est-ce que les gens en entendaient parler ? Par le bouche à oreille. Est-ce que ça fonctionnerait encore à l’époque moderne ? Non.
Avec les moyens de surveillance que nous avons, il faut se coordonner rapidement et massivement afin de contourner la censure et d’échapper aux forces de police, qui elles utiliseront la technologie moderne. Il faut aussi pouvoir mobiliser au plus vite le plus de monde possible dans les manifestations improvisées. Dans ces conditions ne diffuser l’information que de proche en proche et en personne est inefficace. N’utilisez pas vos téléphones portables et vous serez tous en prison avant de dire ouf. Plus généralement, l’histoire des révolutions a toujours fort à voir avec l’histoire des infrastructures de communication…
Lire la suite sur Politique du Netz : Est-ce que les médias sociaux engendrent un type particulier de protestations ? Une analyse de #Geziparki par Zeynep Tufekci
Alors voilà. L’autre jour, je fus prise d’une envie complètement pas inhabituelle : mater tranquillou des séries télévisées de qualité tout en niant de toutes mes forces l’existence du soleil, du printemps, et des gens qui cassent les couilles à vouloir absolument aller bouffer des tomates cerises sans se laver les mains au parc sous prétexte qu’il fait beau, qu’on a retrouvé ses havaianas et que c’est bien connu le rosé c’est meilleur chaud dans un gobelet fendu avec de la pastèque qui attire les moucherons. Bon, bref, j’étais de bonne humeur et j’ignore si c’était ma journée annuelle Mère Teresa ou quoi, mais d’un coup, comme ça, ça m’a pris, j’ai eu envie de télécharger LÉGALEMENT des séries…
A lire sur Klaire fait grr : Ivre, Hadopi adopte le label PUR foutage de gueule
C’est l’histoire d’une profession en pleine crise, le journalisme, qui se plaint toute l’année de manquer de moyens pour informer correctement le public et qui, chaque mois de mai, consacre une énergie et des moyens financiers considérables à couvrir un festival de cinéma dont tout le monde, ou presque, se fout.
L’enflure de la bulle médiatique qui se forme autour du Festival de Cannes ne connaît plus de limites. Cahiers spéciaux, émissions délocalisées et suppléments sur papier glacé saturent l’espace médiatique…
Lire la suite sur Rue89 : Le Festival de Cannes, en fait, on s’en fout
La ville de Détroit, symbole du capitalisme et de l’industrie automobile, n’est plus que l’ombre d’elle-même. En cinq ans, ses habitants ont subi une brutale décroissance forcée : un taux de chômage exorbitant, un exode urbain sans précédent, des services publics délabrés. Pourtant, derrière les scènes de désolation, une société post-industrielle est en train de naître, grâce à l’expansion d’une agriculture urbaine et à l’émergence de solidarités de quartier. Basta ! a rencontré celles et ceux qui bâtissent une nouvelle cité sur les ruines de la Babylone déchue.
Lire l’article sur Basta ! : Détroit, laboratoire du monde d’après le néolibéralisme – Décroissance forcée
Cette semaine, l’Atelier des médias se délocalise à Bonn, en Allemagne. A l’occasion du Forum mondial des médias, la Deutsche Welle, service international de diffusion de l’Allemagne, a remis leur prix aux six lauréats des Best of Blogs. Le concours des Bobs récompense des sites engagés en faveur de la liberté d’expression depuis 2004. L’événement, qui distinguait au départ des blogueurs engagés dans la défense des droits citoyens, concerne désormais l’activisme sur internet en faveur de la défense de la liberté d’expression. Six prix sont attribués par un jury. Trente quatre autres sont déterminés par le vote du public sur le net. Tour d’horizon aujourd’hui des initiatives sélectionnées par le jury des Bobs.
Lire l’article sur RFI : 1 – Bobs 2013 : le cyberactivisme récompensé
Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux. Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter…
A lire sur Article11 : Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse » – Olivier Cyran
Rien n’est mieux partagé que le discours anti-bobo. L’ironie ou l’agressivité peuvent varier, mais chacun a un jour, d’un air entendu, utilisé ce mot pour parler d’un quartier, d’un restaurant, d’idées politiques, de modes vestimentaires ou de pratiques alimentaires. Nul besoin d’expliquer le terme, les bobos c’est les autres – et, pour certains, le nouveau repoussoir, l’incarnation d’un progressisme hypocrite, d’une branchitude désinvolte et indifférente aux vrais problèmes…
A lire sur Les mots sont importants lmsi.net : Comment la critique des « bobos » est passée à droite
Certains se demandent pourquoi faire tant d’histoires à propos des révélations sur PRISM et des autres formes de surveillance de masse de la NSA. Quand William Hague nous dit que les innocents n’ont rien à craindre de ces écoutes, on est en droit de se poser des questions : à partir de quand la surveillance peut-elle nuire ? que peut-il se produire lorsque l’on est épié ? Voici quelques raisons pour lesquelles vous devriez vous sentir concernés par votre vie privée, sa divulgation et la surveillance…
Lire l’article de Doctorow sur Framablog : PRISM NSA : pourquoi nous devrions nous sentir concernés
Femmes enceintes et jeunes, ne mangez pas de saumon plus de deux fois par semaine. Telle est la nouvelle recommandation du gouvernement norvégien, forcé de reconnaître – tardivement – que ce poisson gras est aussi bourré de produits toxiques.
Le gouvernement aimerait surtout que la nouvelle ne traverse pas la frontière. Pensez : la Norvège a été en 2012 à l’origine de 60% de la production mondiale de saumon atlantique, le pays a produit près d’1,2 million de tonne de ce poisson. Et les 29 milliards de dollars annuels générés par les exportations de ce secteur-clé de l’économie pourraient s’en trouver affectés…
A lire sur Rue89 : La Norvège reconnaît que son saumon peut être dangereux pour la santé
Je dois dire que je suis un peu fatigué de la faiblesse conceptuelle et de la hargne idéologique qui transparaît dans beaucoup de critiques des différents mouvements qui, depuis le magnifique coup d’envoi des insurrections arabes, s’affrontent, sur les places et dans les rues, aux maîtres du monde et à leurs représentants locaux. Indignados espagnols, Occupy étasunien, printemps d’érable, étudiants chiliens et britanniques, mouvement turc et maintenant brésilien: tout ça, selon bien des marxistes pur jus et/ou réactionnaires pure bile, ça ne serait que classes moyennes et compagnie, donc, ontologiquement voué à la défense d’intérêts bornés et à l’impuissance finale des bébés gâtés de la civilisation marchande.
Lire l’article sur Les contrées magnifiques : Eloge de la classe extrême
La petite bourgeoisie, communément appelée classe moyenne, c’est cette classe sociale qui, privée de pouvoir économique, n’est pas responsable de l’abjection ambiante mais profite toutefois de ses retombées. Une classe sociale repue de droits et qui ne se reconnaît aucun devoir. Voyage au pays de la petite bourgeoisie, par une déclassée, en trois temps : militer, faire soi-même, voyager…
Lire l’article sur Mon blog sur l’écologie politique : Le voyage, un droit humain ?
Les Suisses n’en finissent pas de nous épater. Alors qu’il y a un an, peu croyaient en cette initiative, le mouvement suisse pour le revenu de base est en train de prendre de l’élan.[...]
La presse francophone est désormais unanime : avec plus de 110.000 signatures à 4 mois avant la fin de la campagne, l’initiative fédérale est sur le point d’aboutir. Selon la constitution suisse, il faut en effet 100.000 signatures pour qu’une initiative citoyenne aboutisse, déclenchant alors une votation sur le projet de loi proposé par les initiants bâlois et zurichois il y a un an…
A lire sur Portail francophone du revenu de base : Et si la révolution du revenu de base venait de Suisse ?
Il se pourrait que ce billet et les deux suivants, consacrés à une critique de la « Troisième Révolution Industrielle » (TRI) de Jeremy Rifkin, suscitent des controverses, y compris de la part de lecteurs proches des analyses de ce blog. J’assume, et je souhaite qu’on en discute. Je n’ai lu que des comptes-rendus et réactions favorables ou enthousiastes à ce livre. Serais-je le seul à voir dans la TRI, au-delà de points de convergence évidents et anciens, une impasse pour la transition écologique et sociale ?
A lire en trois parties sur le blog de Jean GADREY sur Alternatives Economiques : » Blog Archive » Jeremy Rifkin, le gourou du gotha européen (1)
En France, et partout dans le monde, les ordinateurs ayant un accès public à Internet sont trop souvent soumis au filtrage des contenus. Le filtrage n’est ni plus ni moins qu’une censure déguisée, au prétexte fallacieux de protéger les enfants de ce qu’ils ne doivent pas voir pour essayer de comprendre ce qu’ils vont devenir. Pourtant ce sont eux qui ont en priorité besoin d’accéder facilement à la connaissance. Mais la censure ne touche pas que les enfants ; elle réduit littéralement le Savoir, et l’intégration des Hommes dans leurs sociétés. En filtrant Internet, on empêche donc les internautes d’accéder à la Culture…
Lire l’article sur Neosting : L’impact des censures sur Internet, sur les sociétés
On pourrait, pour commencer, rappeler que c’est l’imbécile Hadopi qui a, en France, poussé une bonne partie de la jeune génération vers des techniques d’anonymisation qu’elle ignorerait toujours sans le lobbying de l’industrie culturelle. Grâce à sa très coûteuse existence, elle a appris à vos enfants des notions telles que VPN, proxys, ou « Web profond ». Grâce à son action si peu efficace de milice privée financée par des fonds publics, elle aura aussi poussé les plus curieux d’entre eux vers les réseaux chiffrés de pair à pair (TOR, Freenet et autres avatars) et les plus motivés par l’argent vers la création de « trackers » pirates, pièges à pub rémunérateurs qui vendent ce qui devrait être gratuit (le partage).
Il serait pourtant dommage que le gouvernement néglige cette (incontestable) réussite lorsqu’il fera le (maigre) bilan de cette expérience (ridicule)…
Lire l’article sur Ecrans : [BBS] L’Internet caché du monde de l’ombre
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