Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse »
Ce n’est jamais un plaisir de « tirer » sur son propre camp. Mais quand l’une des personnalités les plus influentes de l’audiovisuel « de gauche » adopte au quotidien des techniques de management dignes du patronat néolibéral le plus décomplexé, difficile de détourner les yeux. Enquête sur l’animateur un brin schizophrénique de « Là-bas si j’y suis », l’émission culte de France Inter…
A lire sur Article11 : Daniel Mermet ou les délices de « l’autogestion joyeuse » – Olivier Cyran