en bref il s’agit de continuer à rendre le monde habitable et vivable.
Soit une première hypothèse : le mouvement social qui a agité le pays ces dernières semaines aurait visé la suppression d’un article de loi bien déterminé, en en passant par la mobilisation d’une population elle-même bien définie d’étudiant/es et de lycéen/nes, directement concernée par le problème d’une « première embauche ». Et dans cette perspective le retrait ou le remplacement du CPE aurait dû impliquer logiquement la fin du « mouvement anti cpe ». Pourtant ça continue : à Rouen, Toulouse, Rennes les facs restent bloquées ou occupées ; à Saint Etienne trois cent personnes décident de boycotter l’AG convoquée par les anti grévistes pour penser les modalités pratiques du blocage de l’université ; un peu partout des actions sont menées en ciblant des voies de communication, des chantiers ou des usines (une zone industrielle à Longvic, les raffineries de l’étang de Berre…) …
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