Wired aussi critique Facebook et cherche des alternatives
Facebook a maintenant des méthodes de voyou… c’est le moment de lancer une alternative libre et ouverte
Facebook a maintenant un comportement de gangster, ivre des rêves d’hégémonie mondiale de son fondateur Mark Zuckerberg. Il est grand temps que le reste de l’écosystème du Web en prenne conscience et s’active pour le remplacer par un système ouvert et distribué.
Facebook était juste un endroit pour partager des photos et des idées avec les copains et la famille, et puis peut-être pour jouer à quelques jeux idiots dans lesquels on vous laisse croire que vous êtes un parrain de la mafia ou un pionnier. Facebook est devenu un moyen très utile pour communiquer avec vos amis, avec vos copains perdus de vue depuis longtemps, et les membres de votre famille. Même si vous ne désiriez pas vraiment rester en contact avec eux.
Et bientôt tout le monde a eu un profil – même votre oncle André, et aussi ce type que vous détestiez dans votre précédent boulot.
Et puis Facebook s’est rendu compte qu’il était propriétaire du réseau.
Alors Facebook a décidé que « votre » page de profil deviendrait celle de votre identité en ligne, en se disant – avec raison – qu’être le lieu où les gens se définissent procurera du pouvoir et de l’argent. Mais pour y parvenir, les gens de Facebook devaient d’abord s’assurer que les informations que vous donnez seraient publiques.
Et donc en décembre, avec l’aide des experts en vie privée de Beltway récemment engagés, Facebook a renié ses promesses de respecter les données privées : la plupart des informations de votre profil sont devenues publiques par défaut. Ce qui comprend la ville où vous vivez, votre nom, votre photo, les noms de vos amis et les groupes que vous avez rejoints.
Au printemps Facebook a poussé le bouchon encore plus loin…
Lire la traduction de l’article de Ryan Singel, paru sur Wired : Facebook’s Gone Rogue; It’s Time for an Open Alternative sur Framablog : www.framablog.org/index.php/post/2010/05/13/facebook-wired