Les résistants d’hier sont aussi les résistants d’aujourd’hui.
La liberté de réunion, oui, mais, désormais, à géométrie variable, selon l’intime conviction d’un préfet de la république dont la stabilité sur le poste envié dépend de sa docilité et de son zèle envers le pouvoir politique en place.
On constate finalement qu’en France, aujourd’hui, la condamnation des propos ne s’applique pas à ceux qui appellent à la haine et à l’exclusion doctrinaire d’une partie de la population, mais à ceux qui défendent la paix et le respect des lois internationales…
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