antimondialiste

[ louvoyer : naviguer en zigzag à contre vent ]

30/04/2013

Le tunnel de glycines du Jardin Kawachi Fuji

Classé dans : photographie @ 22:57

wisteria

Le jardin Kawachi Fuji dans la ville de Kitakyushu au Japon héberge une collection incroyable de glycines de 20 espèces différentes. L’attraction principale du parc est le tunnel de glycine. La meilleur moment pour visiter cette merveille est de fin avril à mi-mai.

Voir plus de photos sur TwistedSifter : The Wisteria Flower Tunnel at Kawachi Fuji Garden


Réseaux sociaux : plus belle la vie… partagée ?

Classé dans : culture, désintoxicant @ 22:47

82% des internautes français sont inscrits sur au moins un réseau social. Au quotidien, ils racontent plus ou moins leur vie, partagent les photos de ce qu’ils voient, ce qu’ils mangent, ce qu’ils font. Comment ces nouveaux comportements les ont-ils changés, individuellement et collectivement ? Pourquoi ce besoin de partager ? Quel impact sur le quotidien et les relations sociales ou affectives ? Que cela révèle-t-il de la société actuelle ?

A lire sur France Info : Réseaux sociaux : plus belle la vie… partagée ?


INSEE : des inégalités sous-estimées ?

Classé dans : désintoxicant, exclusions, précarités @ 22:45

La crise creuse plus les inégalités en France que ne le laissaient supposer les récentes statistiques de l’INSEE. D’après une publication de l’Insee passée inaperçue, la France se retrouve désormais parmi les pays les plus inégalitaires de l’UE à 15, en neuvième position.

A lire sur Alternatives économiques : INSEE : des inégalités sous-estimées ?


Hichem, « minot » assassiné que je n’ai pas oublié

Professeur dans un collège du 13e arrondissement de Marseille pendant neuf ans, j’ai croisé le chemin de centaines de « minots » des quartiers Nord. Deux d’entre eux viennent de tomber sous les balles de ces règlements de comptes qui font la « une » des journaux, entre deux résultats sportifs et la dernière « petite phrase » du microcosme politique.

L’un s’appelait Hichem Agaba, il est mort dans une fusillade le 13 mars au beau milieu de la matinée. Il a été mon élève trois années durant. J’ai connu ses attentes, ses rires, ses colères, ses difficultés et ses espoirs. Un enfant comme les autres après tout, ou presque. A ceci près que son horizon était bouché par les barres de béton géantes qui repoussaient le ciel un peu trop haut, un peu trop loin…

Lire l’article sur Idées : Hichem, « minot » assassiné que je n’ai pas oublié


Affiche : Je ne veux pas me marier

Classé dans : anarchisme, désintoxicant, libertés @ 22:40

JE NE VEUX PAS ME MARIER. Je n’ai que faire de la reconnaissance de l’état. Je ne veux pas m’insérer dans cette société, ni participer à la reproduction du couple et de la famille, ces institutions qui servent si bien l’ordre existant. Signer un contrat devant la république ou régulariser mes amours devant un quelconque Dieu sont des idées qui me répugnent.

Je conchie tous ces fafs qui portent le drapeau de la famille et de la patrie, les serments des réacs de tous bords et culs-bénits de toutes religions. Je ne suivrai pas docilement le troupeau de ceux qui emménagent dans une vie sans saveur, bien rangée entre le boulot et le foyer. Je ne veux pas de cette misère affective et sexuelle, de ces rapports truqués où l’on finit par considérer l’autre comme une marchandise.

Je ne suis pas à la recherche d’une vie de bohème dans un ghetto pour gay. Mes désirs ne sont pas solubles dans la platitude des relations existantes. La norme est trop étroite. Le fossé entre ce qui existe et ce que j’ai envie de vivre est trop important pour pouvoir être franchi à coup de réformes.

Pour la destruction du genre, de tout ce qui fait de nous des hommes et des femmes, des homos et des hétéros, des dominés et des dominants.
Crève l’État et ses institutions, le couple, la famille et la religion !

[Affiche trouvée sur les murs de Paris, avril 2013]

sur Non Fides – Base de données anarchistes : Affiche : Je ne veux pas me marier


Un revenu pour exister

« Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays. » Déclaration universelle des droits de l’Homme, Article 22.

Suivant l’article 22 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme, « toute personne, en tant que membre de la société [...] est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité [...] ». On peut bien sûr faire diverses interprétations de cet article… Voici la nôtre : toute personne, du fait de son appartenance à la société, a droit à un revenu garanti, d’un montant suffisamment élevé pour lui permettre d’accéder aux biens et services essentiels. Nous y voyons donc la justification d’un revenu à la fois universel car versé à tous au nom de l’égalité des droits (article 2) et inconditionnel car versé sans condition, sans contrepartie et donc sans impliquer un contrôle social inacceptable (article 12). Un revenu universel, inconditionnel, mais aussi un revenu d’existence, c’est-à-dire garant de l’existence sociale des citoyens, permettant leur participation aux affaires publiques (article 21), le libre choix de leur travail (article 23) et plus largement de leur activité, la libre occupation de leur temps et leur droit au repos (à la paresse ?) (article 24). S’il ne suffit certainement pas à garantir tous ces droits, le droit au revenu est à nos yeux une condition nécessaire à leur concrétisation, au même titre que l’extension de la gratuité, la réflexion sur les biens communs et lutte contre les inégalités…

A lire sur Mouvements : Un revenu pour exister


« De chacun (volontairement) selon ses capacités à chacun (inconditionnellement) selon ses besoins »

Philippe Van Parijs, philosophe et économiste belge, est l’une des figures modernes de la promotion de l’allocation universelle qu’il présente comme une voie capitaliste vers un communisme moderne. Dans cet entretien, il brosse le tableau de l’émergence de cette idée, les controverses qu’elle a suscitées et suscite encore autour de la question du travail. Militant, il revient également sur son engagement européen, écologiste, en faveur d’une réappropriation de l’urbain avec pour objectif d’offrir aux générations à venir « une vie meilleure ».

Lire l’entretien sur Mouvements : « De chacun (volontairement) selon ses capacités à chacun (inconditionnellement) selon ses besoins »


L’agriculture biologique peut-elle nourrir l’humanité ?

Classé dans : désintoxicant, écologie @ 22:18

L’un des principaux obstacles au changement est le fatalisme. Or, ce dernier est particulièrement prégnant en matière agricole, et fortement encouragé par les acteurs de l’agro-industrie. En toute bonne foi, de nombreux agriculteurs et consommateurs sont persuadés que le système technique et économique actuel est « le seul possible ». Pour entretenir cette résignation, l’appareil agro-industriel s’acharne à promouvoir le mythe d’une agriculture biologique marginale et incapable de nourrir l’humanité : il faut à tout prix nier l’existence d’alternatives. Pourtant, les solutions basées sur les savoirs paysans, l’adaptation au milieu naturel et les techniques agro-écologiques ouvrent des perspectives d’autant plus encourageantes qu’elles sont particulièrement efficaces dans les régions les plus pauvres et les plus peuplées de la planète.

Lire l’article sur Ecorev, revue critique d’écologie politique : L’agriculture biologique peut-elle nourrir l’humanité ?


Construire dans mon jardin et résoudre la crise du logement

Classé dans : désintoxicant, libertés, open sources, écologie @ 22:13

Permettre au propriétaire d’une maison individuelle d’envisager qu’une partie de son jardin puisse servir à la construction d’un nouveau logement, que ce soit pour lui-même, pour un proche ou pour un tiers : voilà une idée simple, qui, en donnant la possibilité à un grand nombre de ménages d’accéder à une offre de logements bien situés, bien desservis et abordables, sera sans doute la solution à nos problèmes de logement !
A lire sur Métropolitiques : Construire dans mon jardin et résoudre la crise du logement


29/04/2013

L’impôt des riches, l’impôt des pauvres : l’évitement du contrôle fiscal par les classes dominantes.

Classé dans : désintoxicant @ 18:28

L’affaire Cahuzac n’est pas seulement un puissant révélateur de la collusion entre direction de l’Etat et milieux d’affaires. Elle traduit également ce « relâchement du contrôle sur les classes dominantes » dont parle Alexis Spire dans son dernier livre : Faibles et puissants devant l’impôt (Raisons d’agir, 2012). Pour Contretemps, celui-ci revient sur les principaux résultats de son enquête.

Alexis Spire, chercheur au CNRS, est un spécialiste de la sociologie de l’Etat et des administrations. Après avoir enquêté sur les politiques d’accueil et de traitement des étrangers (Accueillir ou reconduire. Enquête sur les guichets de l’immigration, Paris, Raisons d’agir, 2008 ; Etrangers à la carte. L’administration de l’immigration en France (1945-1975), Paris, Grasset, 2005), il s’est intéressé à l’administration fiscale. Son ouvrage (Faibles et puissants face à l’impôt, Paris, Raison d’agir, 2012) nous conduit au cœur de la collecte des impôts – comment s’opère en pratique le contrôle fiscale ? – et démonte les mécanismes par lesquels les classes dominantes sont parvenues à domestiquer l’impôt et à échapper, en partie, au contrôle fiscal.

Lire l’entretien sur Contretemps : L’impôt des riches, l’impôt des pauvres : l’évitement du contrôle fiscal par les classes dominantes. Entretien avec Alexis Spire


Le balai comme la moindre des choses

Seuls ceux qui portent sur la politique le regard scolastique des logiciens auront du mal à comprendre qu’on puisse dire d’un même événement — comme l’affaire Cahuzac — qu’il est à la fois secondaire et principal. Péripétie fait-diversière et crapoteuse, bien faite pour attraper le regard et le détourner des choses importantes accord sur l’emploi « ANI », austérité, chômage, etc., la bouse soudainement posée n’en a pas moins le mauvais goût de tomber au plus mauvais moment — il est bien vrai que le spectacle de la cupidité déboutonnée, lors même que le corps social en bave comme jamais, donne quelques envies de coups de fourche. Elle y ajoute surtout un effet de révélation potentiellement dévastateur si l’on en vient à considérer que les « péripéties », loin d’être des exceptions locales sans signification globale, sont en fait les expressions d’un système, et qu’il n’est peut-être pas fortuit qu’on retrouve identiquement cette passion de l’argent dans tous les gouvernements qui se succèdent pour garantir sa continuité à l’austérité ainsi qu’à toutes les politiques conduites chaque jour plus visiblement d’après les intérêts du capital.

Lire l’article de Frédéric Lordon sur son blog La Pompe à Phynance : Le balai comme la moindre des choses


12/04/2013

Pétition pour sauver la Maison des Artistes

Classé dans : culture, désintoxicant @ 15:42

Lettre du Président de La Maison des Artistes

- L’HEURE EST TRÈS GRAVE -
suite à la lettre des trois ministres – Touraine, Filippetti, Cahuzac.
MOBILISONS nous, artistes,
MOBILISONS toute la filière professionnelle,
(fabricants de matériel, galeries et diffuseurs, etc).
MOBILISONS tout autour de nous, nos amis et relations
SIGNEZ NOTRE APPEL A SIGNATURE ICI
Il ne reste que quelques semaines seulement, demain il sera trop tard pour REGRETTER et PLEURER, sur la disparition de la Maison des Artistes.
C’est l’outil central de la SOLIDARITÉ professionnelle et de l’entraide pour les plus démunis : aide financière et sociale, conseil juridique, conseil comptable, information et veille professionnelles – et cela, sans aucune subvention publique.
Mobilisons, mobilisons,mobilisons,
contre la collusion et l’entente nuisible et agressive:
I – des syndicats (sauf le SmdA-CFDT) qui sont bêtement ENVIEUX de la représentativité de l’association MdA (18 000 adhérents) ;
II – de la direction de la sécurité sociale qui veut mettre les cotisants dans des CAISSES FROIDES et administratives, au risque d’augmenter nos cotisations sociales ;
III – du service (DGCA) du Ministère de la culture qui veut BAILLONER et mettre au pas, la voix LIBRE des artistes dans toutes leurs diversités.
J’ai rencontré, Romane SARFATI, la conseillère de la Ministre de la Culture en charge des arts plastiques le 25 février dernier durant 1H30. Elle m’a assuré que la décision politique n’était pas prise!
Tout est possible !
En effet, aujourd’hui tout va dépendre de chacun d’entre nous et de nos actions ensemble, de nos actions collectives. Vous êtes parfaitement libre d’agir en votre nom et au nom de votre association auprès de vos amis et des élus du peuple sur tous les territoires de la République.

Montrons par la force tranquille de notre engagement, au Président de la République et à ses Ministres que les artistes sont présents et qu’il n’y a aucune raison de vouloir détruire leur Maison commune, la Maison des Artistes.
Ne touchez pas à la Maison des Artistes – Ne touchez pas aux artistes.
Je rappelle ici que nous avons un régime de couverture sociale excédentaire, que ce régime fonctionne bien, nous sommes, nous les artistes, des citoyens responsables!

Nous sommes bien entendu tout à fait disposés à des discussions franches pour améliorer notre régime de sécurité sociale des artistes-auteurs, mais pas au détriment des artistes, pas à n’importe quel prix !

Avec toute mon amitié confraternelle.

Rémy Aron,
Président de la Maison des Artistes

envoyé par Sylvie.


10/04/2013

Des associations dénoncent la « radicalisation » des actes homophobes

Classé dans : culture de la peur, désintoxicant, exclusions, libertés @ 19:19

Des propos qui s’inscrivent dans la lignée du communiqué publié lundi par l’association SOS Homophobie, qui dénonce une « semaine de violences homophobes » et s’inquiète de la tournure « dramatique » des débats. L’association fait état d’une augmentation « sans précédent » du nombre de témoignages reçus, avec une moyenne de dix par jour, selon elle soit trois fois plus que les années précédentes.

« Il y a un climat d’homophobie qui pousse à la commission d’actes d’agression », estime Elisabeth Ronzier, la présidente de SOS Homophobie, jointe par Le Monde. Pour elle, il y a actuellement une « crispation », voire une « radicalisation » de l’homophobie dans la mesure où le débat sur le mariage pour tous « dure depuis trop longtemps ». Une fois le texte définitivement adopté, « il faudra réparer tout le mal qui a été fait », dit-elle.

Dans la mesure où ces témoignages portent aussi bien sur des propos homophobes, tenus dans les médias ou dans un cadre familial ou professionnel, que sur des agressions verbales ou physiques, il est difficile d’en tirer un constat chiffré d’une hausse des violences…

Lire l’article sur Le Monde : Des associations dénoncent la « radicalisation » des actes homophobes


06/04/2013

Comme disait Prévert, MERDE À L’OR ! (et à l’argent ! ajouterais-je)

Classé dans : désintoxicant, exclusions, politics, précarités @ 21:19

Alors voilà, moi ce qui me fout la gerbe et me donne des envies de meurtre(s), c’est pas la longueur du yacht de Machin ou les comptes à G’nève ou à Singapour (Caïman pareil !) de Bidule, moi c’est l’argent qui me reste en travers de la poche, cette saloperie qui manque à des millions de gens pour survivre, dans un monde où on peut plus cueillir des fruits sur les arbres pour se nourrir ; c’est la caissière foutue à la porte pour un pot de yaourt dont la date de péremption tombait deux heures après la fermeture du magasin ; c’est le chomdu qui se transforme en bonze et se réchauffe le cœur avec de l’essence à briquet ; c’est que dans ce système on est malheureux de trop de travail et tout pareil de pas de travail. Ce qui est tout de même un signe d’échec absolu, une honte pitoyable en matière d’organisation des sociétés humaines.

Bien sûr, un ministre du budget qui planque ses sous, ça peut faire rire jaune. Mais c’est pas du tout le problème. Le problème, c’est de savoir si l’évolution de l’espèce humaine restera bornée par l’extraction de la plus-value.

Est-ce qu’on en reste là ? Avec du travail exploité qui fait des consommateurs grugés et des citoyens roulés dans la farine… Avec des vies sans prix, écrasées par une abstraction : la valeur, que l’argent véhicule plus vite que la lumière et que les marchandises incarnent avec entrain…

Lire l’article sur le blog de Claude Guillon : MERDE À L’OR !


05/04/2013

Les enfants élevés par des parents de sexes opposés sont-ils vraiment plus heureux ?

Classé dans : désintoxicant, exclusions @ 22:41

L’un des principaux arguments des opposants au mariage “pour tous” porte sur l’adoption par les couples de même sexe et concerne plus particulièrement le bien-être des enfants. Ces opposants arguent du fait que si la filiation biologique se compose d’un père et d’une mère, elle s’avère aussi logiquement la plus à même de rendre un enfant heureux.

Mais la recherche nous a souvent montré que ce qui paraît de prime abord intuitif, s’avère souvent ne pas survivre à un examen scientifique rigoureux…

A lire sur Regards croisés sur l’économie : Les enfants élevés par des parents de sexes opposés sont-ils vraiment plus heureux ?


Violences médiatiques contre les luttes sociales

Classé dans : désintoxicant, liberté d'expression @ 22:32

L’information sociale fait rarement la Une des grands médias. Dans un documentaire diffusé en février 2010 sur Arte, David Pujadas confirmait ce que nous savions déjà : programmer huit minutes d’information sociale au journal télévisé de France 2 relève de l’exploit (lire notre « supplique pour être interviewé par David Pujadas »).

Avec l’aggravation de la crise et la multiplication des plans de licenciement, les luttes sociales attirent-elles davantage l’attention des grands médias ? Une chose est sûre : lorsqu’un acteur de ces luttes est invité par les médias, c’est souvent moins pour informer sur les causes et les enjeux de ces luttes… que pour se voir asséner de pénibles leçons de résignation, et autres appels à « dénoncer la violence »…

Lire l’article sur Acrimed : Violences médiatiques contre les luttes sociales


Allô ? Non mais allô, quoi. T’es ministre de l’intérieur et tu connais pas la loi?

Allô ? Allô ? Vous me recevez ? T’es ministre de l’intérieur et tu connais pas la loi ? C’est comme si je te dis, heu… T’es socialiste et tu pourchasses les pauvres, non mais allô, quoi !

Dans un entretien accordé au Figaro le 14 mars 2013, Manuel Valls affirme : «La situation, devenue intolérable, ne peut perdurer: il faut faire respecter la loi en démantelant le maximum de camps de Roms insalubres…»

En désignant expressément des personnes par leur origine ethnique, le ministre de l’intérieur viole un principe fondamental de la constitution française. Ce n’est pas moi qui le dit, ni Nabila, c’est la plus haute juridiction administrative française. En mars 2011, le Conseil d’Etat avait en effet annulé la circulaire du 5 août 2010 qui ordonnait aux préfets d’engager une « démarche systématique de démantèlements des campements, en priorité ceux des Roms »…

A lire sur Mediapart : Allô ? Non mais allô, quoi. T’es ministre de l’intérieur et tu connais pas la loi?


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